Esclaves de la vitesse
L'homme trop pressé prend son thé à la fourchette (Sylvie Groulx, 2003, 83 min. 45 s.)
Ce film de l'Office national du film (ONF) s'attache au parcours de quelques personnes dont la vie est piégée par la vitesse.
« À l'utopie de la civilisation des loisirs semble avoir succédé le temps de la performance et du tout-communication. De nos jours, la technologie s'emballe, le temps s'accélère et paradoxalement, l'homme contemporain n'a jamais été aussi coupé de lui-même. Mais au-delà du constat alarmiste, la réconciliation avec soi et un temps plus personnel reste néanmoins envisageable. »
Nous sommes les citoyens d'une société « mal en point ». Nous sommes tous, à des niveaux divers, incapables de profiter du calme, de rester tout simplement tranquilles et de « ne rien faire ».
Ne peut-on pas réduire la cadence, ce qui rendrait nos vies moins complexes? Un temps qui passe à une lenteur fort agréable peut très certainement être à notre portée.
Ce film de l'Office national du film (ONF) s'attache au parcours de quelques personnes dont la vie est piégée par la vitesse.
« À l'utopie de la civilisation des loisirs semble avoir succédé le temps de la performance et du tout-communication. De nos jours, la technologie s'emballe, le temps s'accélère et paradoxalement, l'homme contemporain n'a jamais été aussi coupé de lui-même. Mais au-delà du constat alarmiste, la réconciliation avec soi et un temps plus personnel reste néanmoins envisageable. »
Nous sommes les citoyens d'une société « mal en point ». Nous sommes tous, à des niveaux divers, incapables de profiter du calme, de rester tout simplement tranquilles et de « ne rien faire ».
Ne peut-on pas réduire la cadence, ce qui rendrait nos vies moins complexes? Un temps qui passe à une lenteur fort agréable peut très certainement être à notre portée.