« En quoi votre main ressemble-t-elle à la main d'un bouddha ? » (koan zen)

« Si, dans votre sommeil, vous tendez la main pour ramasser votre oreiller, vous le trouvez d'instinct. L'être tout entier ne diffère pas de cette main. Lorsque vous comprendrez vraiment cela, vous éclaterez spontanément de rire. »

Les trois portes d'Oryu, un koan de Le Passe sans porte (Mumonkan), extrait du livre de Philip Kapleau, Les trois piliers du zen (textes rassemblés et présentés par P. Kapleau), Paris: Éditions Almora, 2016, p. 328