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Un an que tu es parti, mais jamais loin de nous

Depuis la balançoire, il contemplait la belle rivière du Nord et sa nature vivante. *** Un an déjà que notre père nous a quittés. Mon souvenir le plus vivant de lui, dans les mois précédant sa mort, est celui d’un homme souvent seul, retiré sur la balançoire de la résidence La Roseraie, méditatif, entouré des animaux qu’il chérissait. Il nourrissait une marmotte qui s’approchait de lui sans crainte, partageait son temps avec les oiseaux, les écureuils, toute cette nature vibrante qu’il aimait et protégeait. Et puis, il y avait la rivière du Nord, son eau fluide et apaisante, qui semblait accompagner ses pensées. Je présume qu’en ce havre de paix, il se préparait doucement à sa fin de vie, probablement conscient d’être atteint d’une grave maladie qu’il avait choisi de taire. Il se confiait peu, et il nous sera sans doute impossible de suivre pleinement le fil de ses réflexions, mais j’ose espérer qu’il est parti aussi détaché et serein que "les nuages qui passent ...

L'impermanence

Dessin d'un enfant apeuré
(COVID-19)

Un monde « sans ordre raisonnable »

Pin noir d'Autriche

Calme mental

La démesure de la peur, c'est l'angoisse humaine

L'attention sans objet

La méditation taoïste

L'intolérable solitude

Le non-attachement

Agitation sur place
(mouvement vers l'immobilité)