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Retour de pèlerinage

Quel bien cela faisait de revenir dans les Laurentides sans devoir franchir les portes d’un hôpital, assister à des funérailles, ou vivre dans l’inquiétude de les savoir si malades. L’atmosphère était tout autre : empreinte de joie intérieure (car je les sentais si présents en moi, et bienveillants aussi) et de profonde détente. Saint-Sauveur et la rue principale ont conservé leur charme. La place devant l’église, l’église elle-même, le beau concert à l’église, la librairie ésotérique, les factoreries, les belles montagnes, les émotions fortes, les souvenirs ravivés, le temps suspendu… Tout me rappelait hier et le sentiment que tout n’était pas révolu. Dans l’autocar vers Saint-Jérôme, l’émotion m’a submergée à la vue de Bellefeuille. Tout s’est ravivé. Là où je marchais avec ma mère… j’étais présente, nous étions là… Lorsque j’ai vu la sortie d’autoroute… j’étais dans la voiture auprès d’elle, et j'éprouvais exactement ce que j’avais vécu à ce moment-là. Il en fut de même dans...

L'eau : un patrimoine commun de la nation

L’environnementaliste David Suzuki affirme que le public a quelque chose à dire dans le débat environnemental. Il n’est pas le seul à le penser. De nombreux citoyens sont conscients de la nécessité d’entreprendre des actions concrètes et rapides pour sauvegarder les ressources de la planète.

Mentionnons qu’il existe une loi au Québec (Loi affirmant le caractère collectif des ressources en eau et favorisant une meilleure gouvernance de l'eau et des milieux associés, chapitre C-6.2) qui fait de l’eau un patrimoine commun de la nation québécoise. Les citoyens détiennent vraisemblablement l’intérêt juridique pour contraindre l’État, en tant que gardien des intérêts de la nation, à assurer la protection et la gestion de cette ressource, afin de répondre aux besoins des générations actuelles et futures.