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Vivre sans pourquoi

J’ai lu un livre d’un philosophe que je ne connaissais pas, mais dont le titre m’a interpellée : Vivre sans pourquoi . Son auteur, Alexandre Jollien, est un philosophe français dont la quête de sagesse m’a touchée par son authenticité. Sa démarche, bien que parfois hésitante, boiteuse ou imparfaite, sonne juste. Je le ressens comme un être fragile, vulnérable, mais profondément vrai. Il aborde le zen avec une certaine sagesse, même si j’ai été un peu déçue par la manière dont il en parle : trop folklorique, trop superficielle, pas assez incarnée. Le zen, à mon sens, ne se dit pas — il se vit, ici et maintenant, dans le silence du quotidien. La lecture de Vivre sans pourquoi est fluide, accessible au grand public. Jollien y expose ses névroses, ses angoisses, ses questionnements, ainsi que ses tentatives pour créer du sens et nourrir la compassion. Ce dévoilement intime est sans doute dans l’air du temps, mais j’ai une réelle sympathie pour cet homme. Il écrit avec sincérité, et cela...

Échelle des plans cinématographiques

Qu’est-ce qu’un plan ?
C’est tout ce qui se passe devant la caméra, depuis le déclenchement du mécanisme jusqu’à l’arrêt. Le plan est limité dans l’espace (« dimension ») et dans le temps (« durée »).
Cadrage et échelle des plans :
Plan d’ensemble ou plan général : Il embrasse tout un paysage dont il veut montrer l’ampleur.
Plan de demi-ensemble : Il prend une portion plus réduite d’espace que le plan d’ensemble.
Plan moyen : Il capte le personnage en pied.
Plan italien : Il prend le personnage aux genoux.
Plan américain : Il prend le personnage à mi-cuisse.
Gros plan demi-rapproché : Il prend le personnage à la taille.
Plan rapproché : Il prend le personnage à la poitrine.
Gros plan : Attention sur le visage ou une expression.
Insert (ou Très gros plan): Permet de saisir un détail d’un objet ou d’un visage.
Source : Cours d’introduction au langage cinématographique (CIN-15593)