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Voir un monde dans un grain de sable

« Voir un monde dans un grain de sable Et un firmament dans une fleur des champs, Faire tenir l'infini dans la paume de sa main Et l'éternité dans l'heure qui vient. » – William Blake, dans Wayne W. Dyer, Le bonheur selon Lao-Tseu : la sagesse du tao au quotidien , Guy Trédaniel Éditeur, 2009, p. 413

On peut se dire au revoir plusieurs fois

David Servan-Schreiber a terminé son odyssée dont il a raconté la fin d'une façon émouvante dans son dernier livre écrit sur un ton personnel : « On peut se dire au revoir plusieurs fois » (Paris : Laffont, 2011).

« David Servan-Schreiber dit tout. Les peurs enfantines, irrationnelles, qui, désormais, peuplent ses nuits de vampires et de loups-garous. Les douleurs atroces et puis aussi cet engourdissement qui, parfois, l’enveloppe. Ses joies, ses regrets ou ses doutes sur ses engagements antérieurs. Notamment celui qu’il a porté si haut et si loin avec son best-seller mondial, « Anticancer ». Qu’il se rassure : en matière de prévention du cancer, il a gagné toutes ses batailles. En faveur de la méditation, du stress « positif », de l’effort physique et enfin d’une nutrition plus adaptée, plus écologique, recommandée aujourd’hui par les cancérologues qui étaient, à l’époque, les moins favorables à ses thèses. Après avoir aidé tant les malades à vaincre le tabou de la dépression ou du cancer, David Servan-Schreiber nous donne, dans ce testament souvent jubilatoire, des armes contre la mort. Pour la réussir. C’est un récit qu’on lit, submergé par l’émotion, avec un fort sentiment de gratitude. »
– F.-O. G. « David, Goliath et la mort « réussie » », Sommaire, p. 4, Le Point 2022, 16 juin 2011