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Retour de pèlerinage

Quel bien cela faisait de revenir dans les Laurentides sans devoir franchir les portes d’un hôpital, assister à des funérailles, ou vivre dans l’inquiétude de les savoir si malades. L’atmosphère était tout autre : empreinte de joie intérieure (car je les sentais si présents en moi, et bienveillants aussi) et de profonde détente. Saint-Sauveur et la rue principale ont conservé leur charme. La place devant l’église, l’église elle-même, le beau concert à l’église, la librairie ésotérique, les factoreries, les belles montagnes, les émotions fortes, les souvenirs ravivés, le temps suspendu… Tout me rappelait hier et le sentiment que tout n’était pas révolu. Dans l’autocar vers Saint-Jérôme, l’émotion m’a submergée à la vue de Bellefeuille. Tout s’est ravivé. Là où je marchais avec ma mère… j’étais présente, nous étions là… Lorsque j’ai vu la sortie d’autoroute… j’étais dans la voiture auprès d’elle, et j'éprouvais exactement ce que j’avais vécu à ce moment-là. Il en fut de même dans...

Conseils pour décrocher du milieu du travail

Se laisser des messages
(alarmes de rappel);

Apprendre à dire non
(un dossier de plus quand on est submergé ? Une promotion au moment où on veut prendre davantage de temps pour soi ou pour sa famille ? Les refuser ! Surtout, ne pas se sentir coupable !);

Renouer avec son corps
(un massage, une séance dans un spa ou toute autre activité qui chasse les tensions, apaise l’esprit en ébullition et procure un bien-être général);

Apprendre à déléguer;

Lire pour le plaisir;

Décider de l’heure à laquelle on quittera le bureau (dès le matin);

Faire du bénévolat;

Faire silence
(éteindre téléphone mobile, ordinateur, radio ou téléviseur, après une certaine heure et en restreindre la durée);

Dresser une liste des choses à faire pour le lendemain;

Adopter un animal de compagnie;

Rentrer à pied à la maison
(si on habite trop loin pour marcher jusqu’à la maison, descendre une ou deux stations de métro plus tôt ou stationner l’auto plus loin du bureau);

Fuir les 5 à 7 du bureau
(décrocher, c’est aussi tirer un trait sur les conversations qui ne tournent qu’autour du boulot);

S’autocensurer
(faire un pacte avec nos amis ou nos collègues : on ne parle pas du boulot, à moins d’un événement majeur);

Élaborer des projets personnels
(planifier une activité ou jardiner);

Ne rien faire
(s’allonger et se permettre de rêver, laisser vagabonder sa tête);

Consacrer du temps à ses amis
(pour flâner ou se redécouvrir);

Organiser ses weekends
(une matinée au concert ou une promenade dans les sentiers de la nature);

Prendre le temps de décompresser
(prendre le temps qu’il faut après, passer à autre chose);

Suivre des cours
(danse, tricot ou yoga, ... pour s’obliger de quitter le bureau et se ressourcer);

S’accorder une marge d’erreur
(s’accorder le droit à l’erreur et aux petits oublis enlève de la pression);

Entreprendre une thérapie
(pour mieux réfléchir à son mode de vie et à l’importance que l’on accorde au travail. Il sera possible après de prendre des décisions éclairées).

- Conseils tirés de divers articles de revues