« Tu es cela »

« Dans toutes les religions orientales, on attache la plus grande importance à la formule sanscrite du tat tvam asi, le fameux « Tu es cela », qui nie toute coupure entre l'idée qu'on se fait de soi-même et l'idée qu'on se fait de la réalité perçue. La lumière ne vient que pour qui comprend pleinement cette formule. »

– Robert M. Pirsig, Traité du zen et de l'entretien des motocyclettes, trad. de l'américain par Maurice Pons, Andrée et Sophie Mayoux, Paris : Éditions du Seuil, 1978, p. 122